En marge de la célébration de la journée Mondiale des Orphelins du SIDA, l’ASBL dénommée : »Jeunesse Éclairée Contre le SIDA(JECS) » a organisé le jeudi 09 mai 2024, dans l’enceinte de l’hopital KALEMBELEMBE à Kinshasa, une journée de partage avec les enfants Orphelins du SIDA.
Dans son mot introductif, Madame Grâce LIMBOLE, assistante de la coordonnatrice de JECS a circonscrit cette activité dans le cadre de redonner espoir, sourrir et courage au victimes du SIDA qui sont malheureusement abandonnées dans des conditions de vie inhumaines.
Prenant la parole, la fondatrice de l’ASBL JECS, Madame Paulette SEFU LOKONYA, Excellence des Vulnerables, Ambassadrice des personnes vivants avec VIH en RDC et Rapporteure-Adjointe de la CNDH a saisi de l’opportunité, pour indiquer que les orphelins du SIDA ne doivent pas
être victimes de marginalisation dans la société.
« Il y a des enfants affectés et infectés. Cela nous a motivé parce que ces enfants sont souvent oubliés. C’est ainsi que nous jugeons bon de passer cette journée
ensemble avec eux pour échanger et leur montrer leur place dans la
Communauté »
Pour cette activiste des droits de l’homme et Coordonatrice Nationale, fondatrice , visionnaire des JECS, Il ne doit pas y avoir des inégalités entre les enfants orphelins du SIDA et d’autres.
La représentante des responsables de cet hôpital à cette activité, le docteur LEMBE s’est sit très ravis pour cette initiative tout en encourageant l’ASBL JECS à exceller en donnant plus.
Invité pour honorer cette activité, la député nationale, honorable Christel NVUANGA élue de la FUNA a salué à sa juste valeur cette initiative qui selon lui doit bénéficier de l’accompagnement du gouvernement.
Pour soutenir les enfants orphelins du SIDA, Madame Paulette LOKONYA SEFU à apporté dans sa jubessiaire, un lot immortant des habits, de babouches, de ballons, et de la nourriture en leur faveur.
Il sied de noter que les enfants orphelins sont parmi les plus vulnérables dans la population de notre
pays, étant abandonnés à leur triste sort, sans ressources, vivant dans des conditions d’extrême
pauvreté. Ces derniers vivent aussi des difficultés liées à la santé et au sociales et sont prédisposés davantage à la prostitution, à la délinquance et à d’autres
problèmes d’ordre socio-économique et sanitaire.
Benoît Mudiayi