Les libanais sont devenus de véritables prédateurs des espaces scolaires et universitaires en République Démocratique du Congo. Si l’on y prend pas garde, l’État va perdre tout les espaces scolaires, alerte la société civile du secteur de l’éducation.
Un autre scandale qui défraie la chronique, c’est l’occupation et la démolition de CAFES, cette Institution qui forme les éducateurs et travailleurs sociaux située dans la commune de Kintambo.
Cette institution abritant même les enfants de la rue et en conflit avec la loi pour leur rééducation et leur réinsertion a été assiégé un dimanche par des personnes non autrement identifiées sécurisé par les éléments de la police pour dequerpir l’institution de formation des jeunes désœuvrés. Ce qui étonne c’est que les individus dans aucun document se contente d’envahir une concession de l’État et se mettent à detoler le bâtiment pour y arriver des édifices privés sans être inquiétées.
« Ses gens sans cœurs se permettent de laisser en pâture cette institution de formation.
Le Ministre des Affaires sociales est une vraie déception.
Une institution d’utilité sociale est entrain d’être bradée, vandalisée, aliénée pour satisfaire les appétits gloutons d’un groupe de Libanais prédateurs des espaces scolaires et universitaires » s’exclame le Coordonnateur de la Coalition Nationale de l’éducation pour Tous, CONEPT/RDC.
Pour la CONEPT/RDC, le Ministre des affaires sociales a tout intérêt à tirer cette affaire au clair..
La rédaction