Après avoir été saisie par une délégation des agents et cadre du parc agro-industriel de Bukanga lonzo qui accusent 15 mois d’arriérés et qui confirme que ce dernier est devenu aujourd’hui un désert, le député national, Ados Ndombasi a décidé de porter haut et fort la voix de ces derniers aux niveaux de l’assemblée nationale en adressant une deuxième question orale avec débat au ministre de l’agriculture au bureau de l’assemblée nationale pour lui demander de s’expliquer sur la gestion de ce parc agro d’industriel qui cours un grand risque de ne plus exister malgré tous les fonds disponibilisés par le gouvernement.
À cet effet, cet élu du peuple a été accompagné d’une forte délégation des agents du parc Agro industriel de bukanga lonzo qui séjournent à kinshasa.
Au sortir, le député national, Ados Ndombasi a déploré le fait que ce parc agro-industriel soit abandonné par le gouvernement alors que les peuples congolais continuent à mourir de faim. “Nous avons rencontré les agents du Parc de bukanga lonzo qui sont impayés depuis 15 mois ce sont des choses qui sont inacceptables. C’est pour ce la que nous venons cette foi si avec une deuxième question orale avec débat que nous adressons au ministre de l’agriculture pour en savoir plus sur la gestion agricole du parc de bukanga lonzo a déclaré ” l’élu de la funa
Ados ndombasi espère que cette fois ci cette question sera alignée pour que cela soit débattue au niveau de la chambre basse du parlement pour trouver des solutions idoines à ces problèmes. “ j’espère que cette fois ci le président mboso le bureau de l’Assemblée nationale va aligner cette question pour qu’on en termine avec cette histoire du parc de bukanga lonzo qui est un projet que nous devons valoriser, parceque nous devons tous savoir que le parc de bukanga lonzo est l’un de plus grand grenier que nous avons en RDC ” conclut ados ndombasi
À cette occasion cet élu national s’intérroger sur l’autosuffisance alimentaire en RDC.
Il sied de signaler par ailleurs que, Ados Ndombasi demande au pouvoir central d’investir dans le secteur de l’agriculture.
La rédaction