Le jeune leader congolais et Père Fondateur de l’ONGI ELITE, l’étoile montante de la jeunesse congolaise OKITO Cédrick exhorte respectueusement le Président de la République, Chef de l’État à mettre en place un GOUVERNEMENT ayant la principale MISSION lutter contre les antivaleurs en mettant un accent particulier sur le changement de mentalités allant de bas à haut c’est-à-dire de la base au sommet.
À l’instar de nombre de nation du monde, la République Démocratique du Congo notre pays est à la croisée des valeurs. Tous les congolais consciencieux sont unanimes sur le fait que nos valeurs ont radicalement changé et surtout pas dans le bon sens.
Le changement de paradigme axiologique est caractérisé par l’afflux de nouveaux comportements contraires à la morale, à l’éthique et à l’esprit civique.
Ainsi, la nation des Hommes intègres est minée de part et d’autre sur le plan des valeurs essentielles à la construction et à la prospérité nationales, et l’émergence d’une nation prospère, puissante et rayonnante sur la scène régionale et mondiale.
En quelques décennies, la ruine morale a pris la forme de la corruption qui, tel un virus mortel, gangrène le social du peuple se retrouve menacé dans son existence même, du fait de la défaillance coupable des intellectuels du hier et hauts cadres et dirigeants d’aujourd’hui.
La volonté politique proclamée de lutter contre les antivaleurs ou encore la volonté affichée de restaurée l’intégrité de l’Homme Congolais indique à suffisance le consensus autour du diagnostic et de la nécessité absolue de trouver le moyen Dr barrer la route à une pratique qui a la particularité de compromettre le capital axiologique social et individuel du peuple congolais.
Pour le prochain gouvernement, en faisant des antivaleurs une préoccupation nationale constante et en orientant la réflexion autour de la promotion de l’éthique citoyenne.
Un gouvernement des hommes et des femmes intègres avec un budget de 5 milliards, la probabilité pour ce gouvernement de ramener le budget à 100 milliards est de 90%.
La rédaction