C’était prévisible après le rebondissement du dossier 100 jours à la Cour de cassation. Ce jeudi 23 juin, les juges de cette haute Cour ont prononcé l’acquittement de l’ancien directeur de cabinet du chef de l’Etat.
Selon ses avocats, il n’y a pas eu suffisamment de preuves pour condamner le président de l’Union pour la nation congolaise (Unc).
Pourtant déjà condamnée à 20 ans au premier degré, Vital Kamerhe et ses coaccusés ont vu leur peine être réduite à la Cour d’appel. Mais toutes ces peines ont été annulées par l’arrêt de la Cour de cassation pour défaut de forme.
Après réouverture des débats, cette même Cour a rendue son arrêt donnant la liberté totale à l’allié du régime en place. Vital Kamerhe était poursuivi pour détournement des fonds destinés au programme de 100 jours dans son volet habitat.
La rédaction