Il a été décrété par un certain Syndicat d’enseignants, une grève depuis le lundi 02 mai dernier dans toutes les écoles primaires.
Réagissant quant à ce, la Secrétaire Générale du Syndicat des Enseignants du Congo, (SYECO) Madame Cécile Tshiyombo, a exprimé tout son regret de savoir qu’il y a des soi-disant syndicats inféodés de pouvoir politique qui tentent encore de faire revenir l’ancien système de la prise en charge des enseignants par mes parents en RDC. Selon le SYECO, ce soit syndicat n’est autre que l’émanation des politiques qui croient qu’ils pouvaient annuler ou supprimer l’article 43 qui parle de la gratuité de l’enseignement à l’école primaire au sein de la constitution qui parle de la gratuité à l’école primaire.
En effet, le SYECO exige à ce que ces écoles qui croient être grandes et spéciales que d’autres deviennent tout simplement des écoles privées, car les enfants des pauvres ont besoin de la gratuité pour se rendre à l’école, malgré les effets induits de la gratuité souligne la SG du SYECO.
Pour le SYECO, la mise en oeuvre de la gratuité de l’enseignement est un processus, cependant, ceux qui tentent d’activer la reprise de la motivation à l’école primaire ne s’apprendront qu’à eux même, prévient la SG du SYECO, Car, selon elle, il y a eu des négociations qui ont pris en charge les enseignants comme prévu par les accords de Mbuela.
« Nous insistons et nous disons, ne peuvent aller en grève décrétée par ces syndicats que leurs membres, car la motivation ne reviendra plus à l’école primaire. ce qui pense que les parents peuvent payer et que les parents croient qu’ils peuvent payer beaucoup d’argent doivent aller tous dans des écoles privées puisque les écoles publiques primaires ne retourneront jamais dans la motivation ou encore la prise en charge des enseignants par les parents » a martelé Cécile TSHIYOMBO.
Le SYECO préconise que les écoles privées ou encore les écoles qui se croient être importantes se transforment tout simplement à l’école privée. Ce dernier promettent d’exiger à ce que toutes les écoles conventionnées ou privées soient récupéré pour être gérées par l’état lui lui-même, le seul organisateur des enseignements dans notre pays » a-t-elle conclut.
Aaron Kikadi