Le Chef de l’État, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo a pris part au Mini-Sommet régional sur la sécurité en République Démocratique du Congo, tenu jeudi dernier à Nairobi (Kenya).
Les Chefs d’État kényan, burundais, ougandais, congolais et le représentant rwandais ont pris l’engagement de mutualiser leurs forces afin de mettre définitivement fin à l’activisme des groupes armés locaux en RDC.
Ils ont, toutefois, demandé au Président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo d’ouvrir une consultation avec les groupes armés afin de les appeler à adhérer à l’option de la paix avant tout engagement militaire.
Cette question de négociation avec les rebelles opérant à l’Est de la RDC, ne cesse de créer des réactions au sein de l’opinion publique.
Faudrait-il parler de l’échec de l’état de siège décrété dans cette partie du pays depuis l’an dernier, d’autant plus qu’il avait comme but principal de lutter contre les massacres des civils par des groupes armés ?
Les avis des uns et des autres continuent à couler à flots sur la toile et sur certains médias. Alors qu’un bilan rationnel de cette mesure qui par vocation, est salvatrice pour la population en général et celle de l’Est particulièrement .
La rédaction