NORD-KIVU : Un otage relâché parmi les 2 infirmiers enlevés par des bandits main armée à Beni.
La nuit du lundi 28 juin 2021,deux infirmièrs ont été pris en otage par des bandits armés non autrement identités. C’était Lors qu’ils exerçaient leur métier de soins dans une structure sanitaire locale à Mangango c’est à environs 15 kilomètres à l’ouest de Beni.
Aucun contact ni exigence de la part de ces kidnappeurs n’etait dévoilée jusque dans la matinée de ce mardi 29 juin.
Cependant des sources sécuritaires parlent du relâchement de l’un des otages par ces bandits armés et l’autre demeure en captivité.
Ces mêmes sources policières rassurent que les services de sécurité sont en allerte maximale pour libérer Madame RACHELE de la main de ces malfrats.
Pendant ce temps, l’armée appelle à l’amélioration de la collaboration entre la population et tous les services de sécurité au regard des manaces de l’ennemi.
C’est le porte-parole des Forces armées de la RDC, secteur opérationnel SOKOLA 1 Grand Nord qui l’a dit à la radio Okapi de Beni ce mardi 29 juin 2021.
« … J’invite tous les journalistes,les leaders de la communauté à sensibiliser la population sur le respect des mesures prises par les autorités.
J’invite aussi tous les services de sensibilisation de l’armer à activiter maintenant la guerre psychologique car c’est ce que l’ennemi est en train de faire,il veut prouver à la face du monde qu’il a encore la capacité de nuisance or l’armée a ratifié l’ennemi dans plusieurs villages du territoire de Beni et il veut encore se faire entendre. Mais je pense qu’ensemble avec la population nous pouvons mettre cet ennemi hors d’état de nuire… »
A déclaré le lieutenant Antony MWALUCHAI , porte-parole de l’armée en secteur opérationnel SOKOLA 1 grand nord Kivu.
Il sied de rappeler que ce mardi est le deuxième jour du couvre-feu à Beni décrété par le maire Policier de la ville, commissaire supérieur Principal MUTEBA Kashale Narcisse. Cette mesure est en application après des attaques en répétition des bombes artisanales qui ont plongé la population de Beni dans la panique.
Meschac Tsongo