Le 30 Avril de chaque année est une date qui marque le seau de la reconnaissance du travail abattu par les professionnels de la craie de la maternelle à l’université.
C’est dans ce cadre que le Syndicat des Enseignants du Congo, SYECO, a organisé une manifestation commémorative à son siège situé dans la Commune de Kalamu à Kinshasa.
A cette occasion, les enseignants membres du SYECO se sont indignés du fait que cette journée est célébrée toujours dans la méditation.
Malgré sa reconnaissance par l’État, aucune cérémonie officielle n’a jamais été organisée par ce dernier pour honorer les professionnels de la craie.
« La vraie reconnaissance que nous recherchons est celle dont les conditions de la vie et de travail sont totalement transformées »
Pour les SYECO, le gouvernement doit revoir à la hausse le pourcentage du budget national alloué au secteur de l’enseignement afin de répondre aux attentes des enseignants.
Faisant une étude comparative des époques par rapport aux conditions socioprofessionnelles des enseignants, le enseignants membres du SYECO fustige le comportement des initiateurs des réformes actuelles qui ont raboté tous les éléments constitutifs qui comportent le salaire d’un enseignant jusqu’à déraciner la tentions salariale et les échelons qui constituent des bornes administratives fixées par les anciens dirigeants. Selon ces enseignants, le salaire de l’enseignant aujourd’hui n’est qu’un simple jeton de présence au service, car tous les éléments qui constituent le salaire lui sont supprimés.
Tout en saluant la volonté positive manifestée par l’actuel Chef de l’État à travers la mise en œuvre effective de la gratuité de l’enseignement, le SYECO exige l’application de l’accord de Mbudi souhaité d’ailleurs par tout les agents et fonctionnaires de l’État.
Le SYECO salue en effet, la prise de fonction par l’actuel Ministre bdel’EPST, honorable Tomy Mwaba, qui selon eux, est l’unique homme politique qui c’était distingué en prenant position du côté des enseignants dans les monuments difficiles
Le SYECO lance enfin l’appel au soutien total à l’actuel Président de la République au lieu de penser encore en Égypte.
Benoît MUDIAYI