Le directeur général de la société congolaise pour l’Etat de droit (SCED), une structure de la société civile basée à Kananga,a circulé le bilan de son ONGDH en 2020 sur ses plaidoyers en faveur de la justice transitionnelle et le droit pour la réparation des victimes de massacres en République démocratique du Congo.
Au cours d’un point de presse tenu à Kananga en début de semaine,en prélude de l’an1 de cette structure ayant vue jour le 24 janvier 2020, le bâtonnier Dominique Kambala s’est apaisanti sur deux points notamment les deux ans après l’alternance en RDC et aussi les activités menées par la SCED au cours de l’an 2020.
Sur le dernier point, le directeur général de la SCED note à son actif l’obtention de l’autorisation de fonctionnement ouverture de deux comptes à la Banque centrale du Congo et plusieurs communiqués dont 15 déclarations liées à la justice transitionnelle. SCED est intéressée à cause des situations dramatiques que passent les victimes des affres de guerre de Kamuena Nsapu qu’elle considère comme des graves violations des droits de l’homme entre les années 2017-2018 au Kasaï .
» La justice transitionnelle actuellement c’est un paradigme. Au niveau du gouvernement central,on a déjà deux projets de décret sur les questions de justice transitionnelle. Nous sommes aussi presque dans la situation des graves violations des droits de l’homme provoquée par les conflits que vous connaissez. Nous avons fait une déclaration sur le droit à réparation des victimes des crimes graves parceque’au fur à mesure que les victimes deviennent multivictimisees et donc cette problématique de la réparation est très importante. » insiste-t-il.
Plusieurs projets, dénonciations, publications et plaidoyers ont été signalés par Maître Kambala Nkongolo.
Jean Claude Ngalamulume Bakamubia