La série des réactions au lendemain de la marche du Front Commun pour le Congo se poursuit. La dernière réaction en date est celle du Regroupement politique ‘ Le Changement En Marche, en sigle L.C.M qui estime que cette marche dite de soutien aux institutions nationales s’est
révélée être, en réalité, une attaque dirigée contre le
Président de la République, première institution de la République et
partenaire du FCC dans lesdites institutions qu’il prétendait
pourtant soutenir.
Ce regroupement politique de soutien à Fatshi, dit constater que « le FCC s’est
trompé de cible, étant entendu que, mise à part l’institution
Président de la République, toutes les institutions nationales,
provinciales et locales sont animées par les membres du FCC qui
sont les seuls responsables de la situation décriée par eux-mêmes ».
Le LCM rappelle que l’institution « Gouvernement central » est
dirigé par le Front Commun pour le Congo qui détient 65% des
postes ministériels parmi lesquels les postes clés tels que la
Défense, les Finances, l’Education, les Mines, les Travaux Publics. A
ces ministères, pense le LCM, il convient d’ajouter la Banque Centrale qui définit
la politique monétaire du pays, et qui est responsable de la
dépréciation monétaire actuelle.
Le Changement en Marche tient également le FCC responsable des
crises vécues au sein du Parlement, tant à l’Assemblée Nationale qu’au
Sénat. Il constate en outre que la cohésion a fait
défaut à la Coalition FCC-CACH.
Ce regroupement politique exhorte le Chef de l’Etat à tirer les
conséquences de cette stratégie permanente d’étouffement de
son action par le FCC qui
semble mettre tout en œuvre pour faire endosser la responsabilité des
crises ainsi créées au Président de la République.
Le Changement en Marche dit enfin renouveller son attachement
indéfectible au Président de la République, Chef de l’Etat, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo et son soutien
sans faille à son action salvatrice pour la Nation Congolaise.
BM.